Informations

Sujets Préférés:
les oiseaux en général, et plus particulièrement les palmipèdes plongeurs (Plongeons, Grèbes, Guillemots, Pingouins, Manchots).
J'adore également les Albatros et les Fous de Bassan.

L'animal que je rêve de photographier:
le Macareux Moine.

Les lieux qui me font rêver:
les territoires polaires.

Mon Boîtier:
Canon EOS 40D

Mes Optiques:
Canon EF 400mm f5,6 L
Canon EF 70-300mm f4-5,6 IS USM
Canon EF 100mm f2,8 L macro
Canon EF 24-70mm f2,8 L USM
Canon EF 50mm f1,8
Canon EF 20mm f2,8		 Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours été attiré par la photographie et la nature.
Mon premier appareil, je l'ai eu pour partir en classe verte. Ainsi, je devais avoir dans les 8 ans quand j’ai mitraillé pour la première fois les paysages alpins.
Puis j’ai eu un RICOH TF-900 automatic. Avec lui, il n’était pas rare de me retrouver à quatre pattes en train de photographier des Sauterelles camouflées dans les hautes herbes. Les résultats n’étaient pas brillants, mais c’était un début.

Ma passion pour la nature s’est fortement développée, j’ai d’ailleurs entrepris des études en biologie. Mais il a fallu attendre mon Volontariat à l’Aide Technique dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (novembre 1999 à février 2001) pour me lancer réellement dans la photo animalière.
Pour l’occasion, je m’étais équipé d’un Canon EOS 50E, d’un zoom Canon 28-105mm, d’un téléobjectif 75-300mm de la même marque, et d’une bonne cinquantaine de pellicules photo (une focale fixe, un Canon 20mm, est rapidement venu compléter mon matériel).

A Crozet, un petit caillou de 10 km sur 15 perdu à l’extrême sud de l’océan indien, je disposais d’un formidable terrain de jeu pour pratiquer ma passion.
Les sujets à photographier étaient légion (Manchots, Otaries, Albatros, etc), et j’ai pu profiter de l’expérience de nombreux autres photographes, amateurs et professionnels, qui avaient la même passion que moi. Nous avions un labo et des produits à disposition, j'ai donc gouté aux plaisirs des développements et tirages, et j’en suis revenu avec plus de 2100 diapos (à l’époque de l’argentique ce n’était pas rien) et une bonne quantité de tirages noir et blancs.

Mon boitier argentique m’a accompagné jusqu’en 2006, date à laquelle je suis passé au numérique avec le boitier Canon EOS 400D.

Aujourd’hui, ma passion pour la photographie animalière et de nature est intacte, et la grande majorité de mes photos sont prises au 400mm, monté sur un boitier Canon EOS 40D.